700 entreprises attendues à la 53e édition de la FIA

700 entreprises attendues à la 53e édition de la FIA

Par : Trackio - 2022-06-12

700 entreprises, dont 30 microentreprises, attendues à la 53ème édition de la FIA

Près de 700 entreprises, dont 187 sociétés étrangères représentant 20 pays et 30 microentreprises prendront part à la 53ème édition de la Foire internationale d'Alger (FIA) qui débutera lundi prochain, a indiqué le ministre du Commerce et de la Promotion des exportations, Kamal Rezig. S'exprimant à la Télévision algérienne, M. Rezig a affirmé que cette édition, prévue du 13 au 17 juin prochain, sous le slogan "Pour un partenariat stratégique", verra la participation des Etats-Unis comme « invité d'honneur » de cette 53ème édition. 35 entreprises américaines représentant les secteurs de l'énergie, de la construction, de l'agriculture, de l'agro-alimentaire, de l'hydraulique, de l'environnement, de l'industrie aéronautique et de l'éducation, a-t-il précisé tout en soulignant que "tous les pays ayant exprimé le souhait de participer ont pu le faire sans exclusion". En plus des entreprises étrangères, 530 exposants algériens participent à l'événement dont 147 entreprises publiques et 383 privées, a-t-il également fait savoir.

Lancement bientôt d’un crédit à l’innovation pour les startups

Le ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé de l’Economie de la connaissance et des Start-up, Yacine El Mahdi Oualid a annoncé, samedi à Bejaia, le lancement « bientôt » d’un crédit à l’innovation, destiné aux porteurs de projets dans leur quête de financements. Ce nouveau produit bancaire « sera bientôt présenté en Conseil du gouvernement », a assuré le ministre délégué qui inscrit cette décision et ce mécanisme, parmi l’armada des dispositifs à la fois financiers et réglementaires, adoptés depuis 2021 et qui visent à créer un « cadre propice à la création et à l’innovation » et par ricochet à soutenir, la culture entrepreneuriale. Le ministre n’en a pas dévoilé le contenu, mais il a rassuré quant à sa pertinence, notamment dans sa mise en œuvre couplée avec le fonds de financement des start-up (AFS), dont le concours peut aller jusqu’à 20 milliards de dinars et les autres dispositifs financiers ainsi dédiés.

Un taux de croissance de l’Algérie de 3,4% attendu en 2022

L’Algérie prévoit un taux de croissance de l’ordre de 3,4% au cours de l’année 2022, a annoncé lundi dernier à Oran le ministre des Finances, Abderrahmane Raouya. « L’Algérie a réussi à dépasser les répercussions de la crise sanitaire de la Covid-19 et les grands indices économiques sont en amélioration depuis le deuxième semestre de l’année 2021 ce qui permet de prévoir un taux de croissance de 3,4% pour l’exercice 2022 », a souligné le ministre à l’ouverture du 33ème Congrès de l'Union générale arabe des assurances (UGAA) au Centre des Conventions Mohamed Benahmed d’Oran. M. Raouya a mis en exergue « les dispositions de l’Etat pour prendre en charge les répercussions de la crise sanitaire et amortir son impact sur l’économie et les institutions algériennes, dont le rééchelonnement des dettes des entreprises et l’octroi de diverses mesures incitatives. Ces mesures ont permis de contrôler la situation économique générale et préserver les grands équilibres dans le secteur financier, dont celui des assurances et réassurances ».

La CAPC soumet ses propositions pour relancer l’industrie automobile

A l’arrêt depuis des années, après l’échec du précédent projet d’industrie automobile, le marché des véhicules en Algérie enregistre une crisesans précédent. LaConfédération algérienne du patronat citoyen (CAPC) a, dans ce sens, proposé «une contribution susceptible de constituer des pistes, réalisables dans l’immédiat, pour le traitement de la problématique de l’industrie mécanique». Selon son président, Mohamed Sami Agli, celle-ci « a été le fruit d’une collaboration étroite à travers un comité comprenant la CAPC, l’Apoce, des concessionnaires automobiles et des opérateurs économiques ». « L’enrichissement de cette étude a été également renforcé par les consultations des organisations de la Coordination nationale du patronat ». «L’exercice est d’examiner les pistes opérationnelles pour pouvoir relancer l’industrie automobile sans affecter la balance commerciale (préservation des devises) et sans exacerber la pression sur les devises du marché parallèle », indique Mohamed Sami Agli, en précisant qu’« il s’agit, notamment, de tirer profit des avantages comparatifs qu’offre notre pays à l’effet de booster l’industrie mécanique et l’exportation, tout en permettant de satisfaire crescendo la demande nationale par l’intermédiaire de financements des constructeurs automobile en lieu et place du Trésor public ».

Plus de 120 opérateurs économiques au Salon «Made in Algeria» à Tripoli

La capitale libyenne Tripoli a abrité du 6 au 9 juin le Salon « Made in Algeria » avec la participation de plus de 120 opérateurs économiques représentant près de 64 sociétés algériennes de différents secteurs économiques. Lors de la cérémonie d'ouverture, le chef du gouvernement libyen, Abdelhamid Dbeibah, a appelé les sociétés et les opérateurs économiques libyens à s'orienter vers le marché algérien pour exploiter les opportunités d'investissement M. Dbeibah a exprimé son souhait de voir ce salon couronné par la signature de contrats de partenariat et d'investissement entre les hommes d'affaires des deux pays frères.